J'espère que vous appréciez le jeu de mots de la part d'une franco-jap.
Bref sur ce, ce week-end c'était la saint-valentin blablabla, la grosse tempête de neige et mon avant-avant dernier week-end avant le grand départ.
Donc vendredi.
J'étais censé allée au Mori Art Museum voir l'expo d'Andy Warhol mais en raison de la tempête de neige on a décidé de reporter et de rester chez nous plutôt que d'être coincés dans les transports pendant des heures. On a déjà eu une tempête il y a une semaine, avec 27 centimètres de neige en ville, chose qui n'est pas arrivée depuis 50 ans. Du coup, trains, avions, villes, tout est chamboulé, j'ai même certains potes qui ont dû improviser un petit camping dans les halls d'aéroport, suspension de lignes de tout type oblige. Ceci dit, y'en a qui s'éclate:
Ayant réalisé sur facebook que c'est la Saint Valentin, je me mets en mode "just the two of us", moi et mon ordi (oui, moi d'abord). Je me mate deux films bien niais histoire de me mettre dans l'ambiance, un bon thé et hop sous la couette.
Au menu donc, Amour et turbulences avec Nicolas Bedos et Un bonheur n'arrive jamais seul avec Sophie Marceau et Gad Elmaleh. Le premier était pas mal et a le mérite de changer le déroulement de la love story classique (retrouver son ex dans un avion et baser 1h30 d'histoire dedans c'est plutôt fort) et le deuxième était franchement guimauve mais bon, c'était un peu le but du soir.
Donc vendredi.
J'étais censé allée au Mori Art Museum voir l'expo d'Andy Warhol mais en raison de la tempête de neige on a décidé de reporter et de rester chez nous plutôt que d'être coincés dans les transports pendant des heures. On a déjà eu une tempête il y a une semaine, avec 27 centimètres de neige en ville, chose qui n'est pas arrivée depuis 50 ans. Du coup, trains, avions, villes, tout est chamboulé, j'ai même certains potes qui ont dû improviser un petit camping dans les halls d'aéroport, suspension de lignes de tout type oblige. Ceci dit, y'en a qui s'éclate:
Hachiko a un nouvel ami. Source: Japan today |
Au menu donc, Amour et turbulences avec Nicolas Bedos et Un bonheur n'arrive jamais seul avec Sophie Marceau et Gad Elmaleh. Le premier était pas mal et a le mérite de changer le déroulement de la love story classique (retrouver son ex dans un avion et baser 1h30 d'histoire dedans c'est plutôt fort) et le deuxième était franchement guimauve mais bon, c'était un peu le but du soir.
Oui, moi aussi je m'aime |
Samedi, retrouvaille de famille où à 15h on se retrouve à ouvrir trois bouteilles de vin, avec bourratitude glande totale et sans culpabilité aucune.
J'ai quand même réussir à finir mon livre, Les règles du jeu d'Amor Towles.
Ce qui m'a attiré:
Le livre a obtenu le prix Scott Fitzgerald et j'aime beaucoup cet auteur.
L'histoire avait l'air de ressembler à Rien n'est trop beau, en plus profond.
Amor Towles est un homme, j'étais curieuse de voir ce que ça donnait.
La couverture était jolie. Oui, ça tient pas à grand chose.
L'obtention d'un prix Scott Fitzerald associe tout de suite le présent ouvrage avec ceux de l'auteur de référence. Du coup c'est un peu traître car on s'attend à retrouver un peu la même chose. Certes, on retrouve l'ambiance si particulière à Fitzerald mais on est loin d'un Tendre est la nuit que j'adore. J'ai adoré les 50 premières pages, les 50 dernières, entre, je me suis un peu ennuyée. Les personnages sont très intéressants et auraient mérité d'être plus approfondis mais creusés un peu trop tard. Les dernières parties du livre en revanche sont belles. En gros, je le conseille pour ceux qui on lu tous les ouvrages de Fitzerald et qui veulent retrouver la même ambiance.
Dimanche, retrouvaille avec un professeur que j'ai rencontré cette année, qui m'a offert des goodies d'une université qui n'était pas la mienne, et à qui je ne risque pas de manquer car, jugez plutôt:
J'ai quand même réussir à finir mon livre, Les règles du jeu d'Amor Towles.
Ce qui m'a attiré:
Le livre a obtenu le prix Scott Fitzgerald et j'aime beaucoup cet auteur.
L'histoire avait l'air de ressembler à Rien n'est trop beau, en plus profond.
Amor Towles est un homme, j'étais curieuse de voir ce que ça donnait.
La couverture était jolie. Oui, ça tient pas à grand chose.
L'obtention d'un prix Scott Fitzerald associe tout de suite le présent ouvrage avec ceux de l'auteur de référence. Du coup c'est un peu traître car on s'attend à retrouver un peu la même chose. Certes, on retrouve l'ambiance si particulière à Fitzerald mais on est loin d'un Tendre est la nuit que j'adore. J'ai adoré les 50 premières pages, les 50 dernières, entre, je me suis un peu ennuyée. Les personnages sont très intéressants et auraient mérité d'être plus approfondis mais creusés un peu trop tard. Les dernières parties du livre en revanche sont belles. En gros, je le conseille pour ceux qui on lu tous les ouvrages de Fitzerald et qui veulent retrouver la même ambiance.
Dimanche, retrouvaille avec un professeur que j'ai rencontré cette année, qui m'a offert des goodies d'une université qui n'était pas la mienne, et à qui je ne risque pas de manquer car, jugez plutôt:
Etre dans un café.
Appuyer sur le bouton incendie au lieu des toilettes (juste à côté, mais quelle idée).
Appuyer sur le bouton incendie au lieu des toilettes (juste à côté, mais quelle idée).
Faire évacuer toute la salle.
Ou comment laisser un souvenir impérissable.
Au moins était-il mort de rire.
Ou comment laisser un souvenir impérissable.
Au moins était-il mort de rire.
La pub omniprésente dans le métro et qu'on ne peut rater |
Du coup, je voulais, vraiment, vraiment la faire à Tokyo au cas où vous auriez pas compris.
C'était top, l'expo était vraiment bien agencée, j'ai beaucoup appris sur l'artiste que finalement je ne connaissais pas vraiment hormis la fameuse Maryline.
Malheureusement interdiction de prendre des photos à l'intérieur, ce qui est compréhensible. Ce qui l'est un peu moins, c'est quand un gars s'est fait rabroué pour dessiner au crayon sur son calepin une des œuvres. Bon.
Malheureusement interdiction de prendre des photos à l'intérieur, ce qui est compréhensible. Ce qui l'est un peu moins, c'est quand un gars s'est fait rabroué pour dessiner au crayon sur son calepin une des œuvres. Bon.
Voilà c'était mon week-end en mode "ma vie est tout à fait fascinante".